10 janvier 2010
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19:13
On aurait dit que cette année (enfin l'année dernière), c'était l'année de la Guyane. Contrairement aux idées reçues, je n'ai croisé ni serpent, ni mygale, ni fusée. Pas vu la queue d'un moustique. Que fait la police des clichés ?
Par contre, cette fois-ci en décembre, j'ai vu des cacaos pas comme les autres, la crique Yiyi, et toujours le marché de Cayenne. Ce coup-ci, mon appareil photo ne s'est pas enrayé comme la dernière fois.
Vous l'aurez voulu.

C'est quoi ?

Non, il ne s'agit pas de testicules de papous empaillés, mais bien de cabosses de cacaoyers. D'autres espèces que celles qui servent à faire le Van Hounten.

Les mêmes, en situation. Bien plus beaux qu'un arbre de Noël.

Oh ! Nous arrivons sur la crique, succession de marais ouverts, et de cours de rivière resserrés, dans lesquels les chauve-souris nous ouvrent le chemin sous la voûte végétale. Just imagine.

Comme qui dirait un paquet de nénuphars plutôt petits...

... butinés aimablement par un représentant de l'ordre (des Lépidoptères).

La crique commence à se rétrécir. Les palmiers bâches se reflètent comme ils peuvent.

Allons donc au marché, pour nous remettre de cette belle nature (absolument pas croisé âme humaine qui vive sur cette rivière). Un peu de lèche-vitrine sur le chemin, on sent que Noël approche.

Alors dans la famille des marchandes, je voudrais... la mongh à la coriandre...

... la musulmane aux haricots géants...

... la bel-ti-fi aux concombres et aubergines ?

Ca en laisse rêveur plus d'un...

... mais rieuse plus d'une.

Pour terminer, un scoop : le père Noël en train de livrer au 7 Boulevard du Générald de Gaulle.

C'est pas le tout, je me sauve. Comme cette représentation du bagnard fugitif.
Par contre, cette fois-ci en décembre, j'ai vu des cacaos pas comme les autres, la crique Yiyi, et toujours le marché de Cayenne. Ce coup-ci, mon appareil photo ne s'est pas enrayé comme la dernière fois.
Vous l'aurez voulu.

C'est quoi ?


Non, il ne s'agit pas de testicules de papous empaillés, mais bien de cabosses de cacaoyers. D'autres espèces que celles qui servent à faire le Van Hounten.

Les mêmes, en situation. Bien plus beaux qu'un arbre de Noël.

Oh ! Nous arrivons sur la crique, succession de marais ouverts, et de cours de rivière resserrés, dans lesquels les chauve-souris nous ouvrent le chemin sous la voûte végétale. Just imagine.

Comme qui dirait un paquet de nénuphars plutôt petits...

... butinés aimablement par un représentant de l'ordre (des Lépidoptères).

La crique commence à se rétrécir. Les palmiers bâches se reflètent comme ils peuvent.

Allons donc au marché, pour nous remettre de cette belle nature (absolument pas croisé âme humaine qui vive sur cette rivière). Un peu de lèche-vitrine sur le chemin, on sent que Noël approche.

Alors dans la famille des marchandes, je voudrais... la mongh à la coriandre...

... la musulmane aux haricots géants...

... la bel-ti-fi aux concombres et aubergines ?

Ca en laisse rêveur plus d'un...

... mais rieuse plus d'une.

Pour terminer, un scoop : le père Noël en train de livrer au 7 Boulevard du Générald de Gaulle.

C'est pas le tout, je me sauve. Comme cette représentation du bagnard fugitif.