Continuons sur la lancée des escapades estivales.
Quoique le mot estival paraisse un peu exagéré pour cette belle ville de Londres, même en septembre.
La Tamise déchaînée sur fond de pleine lune ? Nan, le trottoir mouillé.
Ma dernière visite dans la capitale de la perfide Albion remontait à plus de 25 ans, et je n'en garde aucun souvenir, si ce n'est les librairies spécialisées dans les ouvrages naturalistes.
Cette fois-ci, je vais à Londres car je suis seule et libre comme l'air, mes missions sont accomplies et je vais donc rentre visite à ma nièce chérie, j'ai nommé Nounou.
J'ai pu déambuler du côté de la City, avec ses immeubles ultra-modernes.
Au bout du quai, le Musée Tate Modern. Les musées sont gratos, alors on n'hésite pas à y entrer le nez au vent.
Même les gardiens sont des oeuvres.
J'ai croisé la grâce.
J'ai joué à croque Madame.
A star is born.
Retour à la réalité, et à Camden Market.
Top models de celluloïd.
Tentantes tenues.
Longeant le marché, un canal. Une fille qui vivait dans la péniche est venue discuter avec moi et me proposer un thé.
Les British ne sont pas coincés. Partie de jambes en l'air sur fond de Tower Bridge.
Qui n'inspire que moyennement cette petite dame, davantage intéressée par sa propre image.
Tout près de là, St Katharine Docks, dont j'ai retenu la déco. Des hommes qui tombent.
Des petits poissons qui nous disent qu'il n'y a pas de raison pour se tirer la langue.
Et des bateaux. Difficile d'en choisir un pour vous.
Pourquoi Colt ? Je ne sais.