Suite de la visite guidée dans ce qu'il est convenu d'appeler la grosse pomme (je ne vois pas pourquoi d'ailleurs).
Nous avons beaucoup utilisé le métro à New york. J'ai la chance (entre autres) d'avoir une nièce qui répond au doux nom de Marie (Meuwy), et qui excelle dans l'art de déchiffer les plans de métro écrits en tout petit.
Ce n'est pas extrêmement simple de s'y retrouver dans ces boyaux : sur une même voie, les rames peuvent aller dans des directions différentes, et s'arrêter ou pas à toutes les stations. Alors il faut lire beaucoup de choses avant de monter dans un wagon.
Concentration maximum.
Une fois aiguillés, il n'y a plus qu'à se laisser bercer et réchauffer (froid de gueux début avril). Le spectacle est dans la rame.
Léger coup de fatigue en fin de soirée.
Où l'on aperçoit également l'auteur de ces lignes (une fois n'est pas coutume).
Un peu d'art urbain ne nuit pas.
Allez, on rentre à l'apart de la 59ème, hyper-chauffé, et en connection directe avec le bar gay du rez-de-chaussée (dommage, je n'ai pas eu l'autorisation d'aller voir les gogo-dancers).