Alfajor de premier ordre, je m'améliore.
Bon anniv petit d'homme.
Merci Aude, Lolo, Jeanne et Michèle pour les petits messages.
Alfajor de premier ordre, je m'améliore.
Bon anniv petit d'homme.
Merci Aude, Lolo, Jeanne et Michèle pour les petits messages.
Histoire sans trop de paroles.
Route de Guatémala - Rejoint les bords du fleuve Kourou.
Reflets de France (973).
Les Hattes sans les Tortues Luth - Awala-Yalimapo.
Artisanat local - Tribu des guêpes maçonnes - Piste de Sainte-Elie.
Badinage juste avant la pluie - Quartier Monnerville.
Tu seras une femme ma fille - Mana.
Case - Campagne de Kourou.
Marée basse cette fois-ci - Les Roches.
Le petit Jacana - Pri pri de Yiyi.
Et beaucoup d'autres choses que le crayon ou l'objectif ne permettaient pas de saisir.
Prunier de Cythère.
Messieurs et dames, ce n'est pas sérieux.
Je me laisse absorber, engloutir, phagocyter...
Quasiment plus de production écrite. J'ai des tas de mauvaises excuses.
Alors je les garde pour moi.
Janvier.
Bin quoi janvier ?
Rappelez-vous, j'ai inauguré en novembre dernier la rubrique "Les 12 mois de l'année". On remarquera au passage que décembre est passé à l'as, mais son tour viendra dans pas moins de 11 mois.
Eh bien janvier en Guadeloupe, c'est un peu le moment béni de fraîcheurs parfois extrêmes. Qui vous font ressortir couettes et chaussettes. Qui permettent d'échanger avec les collègues des propos de comptoir tels que "Pas croyable, cette nuit ça a dû descendre à 18, j'ai pris la mauvaise grippe".
Mais c'est aussi le moment ou la végétation commence à comprendre que la sécheresse n'est peut-être pas loin. Malgré les pluies fréquentes finalement en janvier, la durée du jour commence un peu à augmenter. Et ça ne trompe pas les pruniers de Cythère par exemple, dont les feuilles tombent et virevoltent au gré de l'alizé. Tout déplumé le prunier.
C'est aussi le temps du démarré. Le premier bain de mer de l'année, censé nous purifier. Il fut pris dimanche dernier, dans une mer déchaînée.
Pas moyen de faire le moindre dessin dans les Alpes, trop occupée à être en vacances.
De retour à Versailles, c'était comme à Chamonix, avec un peu moins de pente. Tout blanc, tout beau.
On sent la crispation dans les doigts (et les fesses) de la barbouilleuse, posée le cul dans la neige. Avec fesses et cul dans la même phrase, l'audience du blog va grimper sérieusement.
Déjà moins crispée, j'ai pigé le coup et celle-là est faite depuis mon lit. Le pinceau a refusé de voir la barre d'immeuble sur la droite.
Qu'on se le dise, il s'agit d'un troupeau de mouettes rieuses (celles de Gaston) posées sur un étang gelé.
Notre grand jeu-concours du calendrier de l'Avant juste après :
- Sibérie ?
- Haute-Savoie ?
- Versailles banlieue Fausses-Reposes (avec ses exhibitionistes) ?
Réponses souhaitées as soon as poosible, un lot exceptionnel pour le gagnant.
Nous on est les enfants cachés du Père Noël.
Ces deux petits lutins, je les emmène tous les mercredis au centre aéré. Le trajet ne dure que 10 minutes, mais pendant ce temps, beaucoup de paroles sont échangées de bon matin.
"Les gars, on arrête la production, ça file le cancer aux bébés".
"Bin on fait quoi avec les stocks patron ?
"Euh, on recycle en croquettes pour rennes".
En exclusivité pour le calendrier de l'Avent, le balai du Bolchoï. Très surfait.
"Moi, je ne bouge pas d'ici. Météo France avait que les flocons de neige seraient plus petits. On peut pas travailler dans ces conditions".
"En raison d'un mouvement de grève lié à la réforme des retraites, nous ne sommes pas en mesure d'assurer l'intégralité de notre calendrier de l'Avent et nous nous en excusons".